Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Singes blancs (2) - Li Po

Singes blancs Singes blancs en automne Dansants, légers comme neige : Monter d'un bond dans l'arbre, Et boire dans l'eau la lune Li Po, in Ivre de Tao, Li Po, voyageur, poète et philosophe en Chine, au VIIIè siècle, par Daniel Giraud, Éd. Albin Michel,...

Lire la suite

les singes blancs - Li Po

À Qiupu, il y a beaucoup de singes blancs, Voltigeant comme des flocons de neige. Ils entraînent leurs petits, de branche en branche, Pour boire et jouer avec la lune dans l'eau Li Po, "Les chants de Qiupu, V" - Les rapides de Se font retentir leur grondement,...

Lire la suite

remplissez ma tasse - Li Po

° "L'homme qui sait comprendre la vie doit se réjouir chaque fois qu'il le peut, En ayant soin que jamais sa tasse dorée ne reste vide devant la lune." * Li Po (Li Bai), in : « Chanson à boire ». * Pour les Chinois, qui n'ont guère de soirées aux flambeaux,...

Lire la suite

Être moderne - Moréas-Apollinaire

° " Aujourd'hui, on veut à toutes forces être moderne, comme si cela signifiait quelque chose. (...) Les plus sots veulent être des hommes modernes, quoi qu'ils fassent. C'est un masque qu'ils mettent à leurs sottises. Comme si l'on pouvait être autre...

Lire la suite

Trop de tout !

° " Trop de tout ! Entrer en décroissance, c'est sortir du gavage matérialiste, de ce bruit assourdissant et permanent propre à la société de consommation. Nous voulons du vide, du silence, du rien... " La Décroissance n° 65, p.2. Lire aussi : de Paul...

Lire la suite

Lin Tsung Yüan

Neige sur le fleuve Sur mille montagnes cesse le vol des oiseaux Sur dix-mille sentiers s'efface la trace des hommes Dans la barque solitaire, le vieillard au chapeau et manteau pêche seul la neige sur le fleuve glacé Lin Tsung Yüan

Lire la suite

Li Po

Inscrit sur le temple au sommet des pics Passant la nuit sur les cimes, au temple du sommet Levant la main, caressant étoiles et astres sans oser parler à haute voix par crainte d'effrayer les êtres du ciel Li Po (p.101)

Lire la suite

wang wei

Réponse au sous-préfet Chang Au soir de ma vie, n'aimant que la paix n'ayant plus à coeur les dix-mille-choses depuis que je n'aspire à aucun lointain projet connaissant la vacuité, je retourne aux vieilles forêts Le vent souffle dans les pins, dénouant...

Lire la suite