de Luc Bordes/ 11
bluesman nonchalant son harmonica triste parmi les oiseaux Luc
Vide et plein, (yin et yang), expiration et inspiration, systole et diastole, flux et reflux marées hautes et marées basses, bien et mal, notre bol vide ne se refuse rien, ne choisit pas, il est. Étant mouvement, il évolue, ne se fige pas, il ira où il se doit, de lui-même :« Assis tranquillement, ne rien faire. Le printemps vient, l'herbe pousse d'elle-même. » :
Prendre une pause nonchalante, comme perdu dans sa méditation, tout en écoutant de brillants lettrés faire assaut d'éloquence. Tenir sa coupe, la main ferme et l'esprit lucide, tout en regardant les buveurs se vautrer dans leur ivresse. TU LONG (1542-...
les oiseaux chantent, les fleurs tombent. Goûtons cette paix même si personne n'en jouit avec nous. TU LONG ( 1542- 1605)
Quand la poussière du désir s'est dissipée, et que l'esprit est un miroir limpide, les reflets du dehors, ne valent pas la lumière intérieure TU LONG (1542-1605)
Agitation du monde Je confie mes pensées Au murmure du ruisseau Patrick Masse
le printemps va venir moisi sur les coloquintes colchique et colibri dans la même page de mon dictionnaire Véronique