de Moussia
° la vecchia casa la divide il sole luce e ombra old house the sun divides it light and shadow vieille maison le soleil la divise ombre et lumière ° Moussia Garamanti (Italie)
Vide et plein, (yin et yang), expiration et inspiration, systole et diastole, flux et reflux marées hautes et marées basses, bien et mal, notre bol vide ne se refuse rien, ne choisit pas, il est. Étant mouvement, il évolue, ne se fige pas, il ira où il se doit, de lui-même :« Assis tranquillement, ne rien faire. Le printemps vient, l'herbe pousse d'elle-même. » :
° la vecchia casa la divide il sole luce e ombra old house the sun divides it light and shadow vieille maison le soleil la divise ombre et lumière ° Moussia Garamanti (Italie)
° le haïku avant tout trois taches d'encre plus elles sont petites plus il frôle l'absolue beauté du vide du vivant ° anna (31/12/07)
sunset a glass half empty crépuscule un verre à moitié vide Bill Kenney (USA) sur WHCWorkshop (# 69461)
° nid tombé en mai vide - tout est à refaire ? ° d.(in Haiku International n° 42, 2001)
° " Notre façon de percevoir est celle du prédateur (...) une manière très efficace d'évaluer et de classer nourriture et danger. Mais là ne réside pas l'unique façon de percevoir dont nous sommes capables. Il en existe une autre (...) : l'acte de percevoir...
° " nous consacrons la majeure partie de notre énergie à entretenir notre suffisance. C'est tout à fait évident, vu notre souci jamais assouvi de présentation de notre moi, et cette autre préoccupation de savoir si oui ou non nous sommes admirés, ou aimés,...
derrière les persiennes coup d'oeil et soleil se croisent au loin une pie grièche invisible anna
bien avant l’aurore insensibles à l’heure d’été festival de piafs printemps sur le lac deux tortues côte à côte sur une planche flottante fin d’après-midi la chatte s’étire d’aise flaque de soleil mince croissant de Lune au-dessus du périph ouest samedi...
"Pour peindre le printemps, il ne faut pas peindre les saules, les pruniers rouges, les pêchers et les pruniers verts. Peignez juste le printemps." Dogen (Shôbôgenzo, sermon intitulé Baika "Fleurs de prunier")