selon Bashô
Bashô nous invite à écrire un haïku
« comme on abat un grand arbre,
comme on désarme un adversaire,
comme on fend une pastèque… »
Vide et plein, (yin et yang), expiration et inspiration, systole et diastole, flux et reflux marées hautes et marées basses, bien et mal, notre bol vide ne se refuse rien, ne choisit pas, il est. Étant mouvement, il évolue, ne se fige pas, il ira où il se doit, de lui-même :« Assis tranquillement, ne rien faire. Le printemps vient, l'herbe pousse d'elle-même. » :
Bashô nous invite à écrire un haïku
« comme on abat un grand arbre,
comme on désarme un adversaire,
comme on fend une pastèque… »